Le discours de politique général du gouvernement continue de susciter des interrogations au lendemain de la présentation du premier ministre chef du gouvernement devant les députés de la politique général du gouvernement.

Dr Kassory Fofana, à propos du discours à relever le caractère évasif du discours. D’après lui cela traduit l’intérêt que Kassory Fofana accorde à l’exercice ou bien de l’immensité des taches qui l’attendent

« j’ai pensé hier quand j’ai vu l’acclamation par laquelle le premier ministre a été accueillie dans la salle que c’était une mise en scène tout était acquis avant même qu’il ne commence la présentation. J’ai trouvé un premier ministre très long qui a été très évasif sur toutes les questions » a déclaré Dr Dansa

S’agissant de la mise en place de la stratégie de prise en compte des familles les plus pauvres, il a déploré l’absence des donnés en termes de chiffre et d’argents des familles ayant été sorties de l’extrême pauvreté

« Moi je dirai que le discours qu’il a tenu n’est pas diffèrent de celui qu’il a tenu il y a quelques années ANIES était initié ANAFIC était là le même mécanisme était en place déjà. Mais combien de personnes ANIES a sortit de la pauvreté je n’ai pas vu cette statistique-là dans la déclaration du premier ministre. Par contre il a présente des résultats sur la base d’instruments d’assistances sociales mais l’impact de ces instruments sur la population je n’ai pas eu de chiffre sur sa et pourtant c’est sa qui nous intéresse nous » a dénoncé le président du CNOSCG

Le président du CNOSCG, par ailleurs, a apprécié les promesses du premier ministre en ce qui concerne la réalisation des infrastructures routière tout en restant pessimiste quant à leurs réalisations

« 1500 km en nationale et préfectorale d’ici 2025 et 850 km de routes de voiries urbaines d’ici la même échéance, je suis content de ce résultat parce que 1500 km de routes bitumées à Conakry cela va régler beaucoup de choses mais en réalité non seulement c’est insuffisant par rapport aux défis mais je ne vois pas le gouvernement être en mesure de le faire d’ici 2025 parce que les routes qui ont déjà commencé depuis 3 ans et demi ne sont pas encore achever. Donc en termes d’efficacité sa me pose un problème, c’est pertinent comme proposition mais le réalisme voudrait que je me demande sur la capacité du gouvernement à respecter cela à l’échéance indiqué » a laissé entendre Dr Dansa Kourouma président du CNOSCG

Mamadou Samba Barry